« Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » « Je le sais, mais je fais ma part. » – Extrait d’une légende Amérindienne
À l’image du Colibri de cette légende, chaque personne s’est incarnée pour faire sa part.
Bien évidemment, aucun de nous ne peut, à lui seul, changer le monde, mais que nous en ayons conscience ou pas, notre Vie, ainsi que nos croyances, nos attitudes, et nos actions ont un impact, même s’il est impossible à mesurer.
Même sans être engagé dans une démarche de développement personnel, telle qu’elle est qualifiée aujourd’hui, par le simple fait de notre existence, nous sommes acteurs de l’évolution.
Il est insensé de reprocher à quiconque de ne pas évoluer. Aucun de nous reste un enfant toute sa vie, et aucune personne âgée ne peut prétendre ne pas s’être enrichie de ses expériences.
Il est alors évident que si nos expériences nous changent, elles changent le monde. Cependant, l’ampleur de notre présence est fonction de notre implication dans le processus de la vie, de notre capacité à accepter l’impermanence de toute circonstance, et de notre foi que le meilleur est à venir.
Le meilleur n’étant pas l’idéal que nous avions espéré, mais la situation postérieure résultant de nos prises de conscience, qui nous conduira indéfiniment vers une multitude de versions du meilleur.
C’est en cela que mettre de la conscience dans l’acceptation de notre existence, et dans le fait que notre part est tout aussi importante que celle de tout autre, démultiplie le potentiel d’évolution de notre planète.
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